Adam
« ADAM » – 2019
De Maryam TOUZANI
Distribution: Lubna Azabal (belge, née en 1973 à Bruxelles) · Nissrine Erradi · Douae Belkhaouda
Dans la Médina de Casablanca,
Abla, veuve et mère d'une fillette de 8 ans,
tient un magasin de pâtisseries marocaines.
Quand Samia, une jeune femme enceinte
frappe à sa porte, cherchant du travail,
Abla est loin d'imaginer que sa vie changera à jamais.
Samia : « SALAM JE CHERCHE DU TRAVAIL –Abla : » JE N’AI BESOIN DE PERSONNE . »…
Abla : « Tu vas l’appeler comment ton fils ?
Samia : « Il s’appelle adam , je veux qu’il ait une bonne famille. »
« Adam » : Exotique, bien-sûr ,avec une approche lente et sensuelle, avec une vraie réflexion ! Bien vu , Maryam Touzani !
« Bonjour veaux, vaches, cochons ! »
Tant que la terre tournera…
Les modes vont et viennent comme font les saisons :
certains objets ne se font plus,
quelquefois ils réapparaissent et reviennent sur le marché.
D'autres encore sont immortels.
Je pense à mes jeux d'enfant :
les quilles, les billes, le jeu de la marelle... ils sont toujours en vogue !
Restent encore présents
les carrousels, les serpentins, les toupies, les cordes à sauter... qui n'en finiront pas de tourner tant que la terre tournera.
Si les rollers ont remplacé mes patins à roulettes,
les châteaux de sable se font et se fondent toujours au rythme des marées.
Les poupées ont changé de visage, mais continuent de s'attabler devant une belle dînette.
Les ballons de baudruche s'envolent dans le ciel toujours du même bleu.
- Alors, tout va très bien Madame la Marquise !
- Je ne sais pas ! J'espère juste que, dans les siècles à venir, l'enfant aura toujours cette douce innocence et les mêmes éclats de rire,
qu'il continuera à se poser des questions,
qu'il sera toujours enclin à l'amour et à la tendresse,
toujours riche de poésie et d'imagination !
Mais j'espère surtout, que
son ciel restera de ce bleu,
qu'il goûtera aux fruits de la nature,
qu'il connaîtra le parfum des fleurs et la couleur des prés,
qu'il s'émerveillera à voir tomber la neige,
à regarder la mer en scrutant l'horizon,
qu'il entendra le murmure de l'eau,
qu'il se rafraîchira à celle des fontaines
ou à l'ombre d'un houx fleurissant ses Noëls.
Et qu'au petit matin au détour d'un chemin,
il saluera gaiement la petite Perrette disant le cœur léger :
« Bonjour veaux, vaches, cochons ! »
travaux Adé
TRAVAUX RUE DE LA LANDE
Note du 24 septembre – Mairie d’Adé
Travaux prévus au niveau du 7. Rue de la Lande, entre le 28 septembre et le 2 octobre 2020 afin de stabiliser une grille d’évacuation des eux pluviales
Il faudra emprunter la rue des Arpens, le stationnement sera interdit dans la rue
JM BOYA – X DUPUIS
0562420101
EMOTIONS - ATELIER ECRITURE SEPT 20
Moi ce que j’aime en lui, ce sont ses mains, de grandes mains de maçon qu’il pose, paumes ouvertes en haut, sur le gros velours côtelé de ses pantalons. Et ces grandes mains claires, au milieu des tissus sombres ont l’air d’être détachées du corps, indépendantes. On dirait deux grands oiseaux fatigués, au plumage froissé
par trop de voyages, qui attendent bien sagement qu’on les renseigne sur leur ultime migration.
Elle me disait souvent « Fais comme il faut » -elle prononçait « cômifô ».
Une allusion à des règles déroutantes, jamais énoncées, pas vraiment comprises.
La peur de se faire remarquer et ainsi de connaître la honte. Alors, on faisait tout « moyen » . On s’habillait classique, on ne parlait pas trop fort et au-delà d’une politesse de bon aloi qu’on maîtrisait bien, on ressentait toujours la crainte confuse de faillir. Ça, c’était la vie dehors, à la fois contrainte et paisible.
Dedans, il y avait la couleur, la fantaisie, le chant des canaris, des avalanches de plantes vertes, des chansons, une cuisine aux arômes intenses, toutes choses trop personnelles qu’on partageait uniquement avec quelques rares copains d’école ravis et la famille.
Aujourd’hui ,je pense à tout ce qui existait pour nous, à côté du conformisme.
Des années soixante -le politiquement correct d’aujourd’hui ? - et je me dis qu’il est dommage qu’au nom du « cômifô », on n’ait pas partagé davantage ce qui faisait le sel de notre vie.
atelier d'écriture -perdre son temps...
La vie d’une personne ou d’un être vivant Quels qu’ils soient
me touche au plus profond de moi-même, me bouleverse.
Je prends de mon temps pour les observer, m’approcher, regarder leurs actions, ou leurs repos Les découvrir là où je les rencontre. Qu’ils soient personnes humaines ou animales, ou insectes, ou amibes sous le microscope. Mon regard étonné, plein de curiosité, ou plein d’amour mes oreilles à leurs écoutes : je suis moi .
Pour les animaux, insectes, je n’étais pas intimidé. Mais les humains me rendaient timide. En grandissant j’ai apprivoisé cela.
La phrase de mes parents ne résonne plus comme quelque chose que je percevais comme négatif « Qu’est-ce que tu fais encore à regarder (ceci ou cela) tu n’as pas autre chose à faire, qu’à perdre ton temps ? »
Alice et le Maire
ALICE ET LE MAIRE
Avec Fabrice LUCHINI et Anaïs DEMOUSTIER
Jolie fable sur le temps qui passe et l’usure du pouvoir ;
« j’avais 50 idées par jours et puis, je me suis réveillé un matin et j’arrive plus à penser. Comment vous appelez-vous ? » Fabrice Luchini incarne le Maire de Lyon, aux hautes ambitions élyséennes et Anaïs Demoustier , une « philosophe » conseillère .
A voir pour le coté léger de l’histoire !
« Monsieur le maire, on nous attend – non, non, on nous attend pas, on m’attend, moi . Alice, on va écrire tous les 2 , le discours de ma vie » …
atelier d'écriture spt 20 impro
La vie d’une personne,
c’est l’arc en ciel figé ,quand l’orage couve.
Le jour où il fut fait prisonnier,
sa vie s’arrêta à cet instant.
Moi, ce que j’aime en lui,
C’est sa bienveillance. Il nous met tout de suite en confiance.
Elle me disait souvent :
« Ne t’en fais pas, Petit, la roue tourne, et ton tour viendra. »
« Le vieil homme et la mer » d’Ernest Hemingway
« Le vieil homme et la mer » d’Ernest Hemingway
Le Vieil Homme et la Mer est un court roman écrit par l'écrivain américain Ernest Hemingway à Cuba en 1951 et publié en 1952.
Il s'agit de la dernière œuvre de fiction majeure produite par Hemingway et publiée de son vivant.
Elle demeure son œuvre la plus célèbre.
Elle traite d'un vieux pêcheur cubain appelé Santiago, en lutte avec un énorme marlin au large du Gulf Stream.
Bien que le roman ait été l'objet de critiques disparates,
la sélection de son auteur pour le prix Nobel de littérature en 1954 réaffirme dans la littérature mondiale l'importance et la portée de l'ensemble des créations de Hemingway et dans la fiction du XXᵉ siècle.