St Valentin
Non Valentine,
cette année ,
on ne va pas au resto avant.
On va direct au lit,
et avant 18 heures
car le couvre-feu ne couvre pas ma flamme pour toi.
« HATARI » de Howard HAWKS – 1962
« HATARI » de Howard HAWKS – 1962
Avec John WAYNE, Elsa MARTINELLI, Gérard BLAIN, Michele GIRARDON, Hardy KRUGER.
« Hatari » signifie « danger » en langue swahili.
Nous sommes en Tanzanie , suivant une équipe de « docteurs des animaux » dans la savane, avec les moyens du bord – ils n’ont pas de seringues soporifiques, par exemple. On pense à la série DAKTARI, qui traitait de la même approche de soin des animaux du cru.
Brandy, la fille d'un chasseur tué par un rhinocéros, dirige la réserve de son père près d'Arusha, dans le Tanganyika.
Aidée par des aventuriers,
elle chasse les bêtes sauvages, qu'elle envoie, ensuite, dans les parcs zoologiques du monde entier.
Les assistants de la jeune femme sont originaires des quatre coins du globe ;
Kurt est un ancien coureur automobile ;
Pockets, un ex-chauffeur de taxi new-yorkais ;
et Sean Mercer, un doux Américain au cœur brisé...
Un beau jour,
à la surprise générale, Dallas, une jeune et jolie photographe, débarque à la réserve, dans l'espoir d'y réaliser un reportage extraordinaire...
Elle est suivie de peu par un jeune chômeur venu proposer ses services.
Au début, tous deux se sentent mal à l'aise parmi les chasseurs...
John Wayne (Sean) et Elsa Martinelli (Dallas) jouent au chat et à la souris tout au long du film , intentionnellement ou pas ;
« Pourquoi déteste-t-il les femmes ? demande la femme, curieuse.
-il pense qu’elles sont des problèmes… » répond un assistant.
Album photo imaginaire
Album photo imaginaire
Cueillette de champignons…
C’est moi, qui ramasse les cèpes, je les admire et les présente à ma famille. Un grand instant de bonheur. La fierté d’en voir trouvé. RECONNAISSANCE- VICTOIRE
Action civique…
C’est moi, dans la rue, qui donne un bout de pain à cet homme qui a faim, qui a froid et qui est seul. Il me remercie, je suis apaisée. RECONNAISSANCE- GESTE D’AMOUR
C’est moi qui promène le chien, il tire sur sa laisse, je manque de tomber. De tout temps, la concentration n’a pas été mon fort, je me laisse surprendre. DOUTE.
C’est moi qui fais une tarte aux pommes, à ma façon. Je rajoute de la cassonade, les pommes sont croquantes. VICTOIRE.
Ma nouvelle tête…
C’est moi, le vent a emporté mes cheveux, aidé par les ciseaux de ma belle-sœur. J’accepte enfin que l’on s’occupe de moi et d’évoluer. UN PAS EN AVANT. ACCEPTER DETRE PRISE EN CHARGE.
Epoque libre
C’est moi, habillée tout de noir, jupe longue et tee-shirt, sac en paille sur l’épaule désinvolte. C’était la mode hippie qui m’allait à ravir, avec mes longs cheveux blonds lâchés, allant jusqu’aux fesses. PLENITUDE.
Constatation
C’est moi, sur la plage, étendue sur ma serviette, je me laisse dorer par les rayons ardents, mon corps rougit, je ne bronze pas. BATAILLE CONTRE LES RAYONS ARDENTS.
« LA NUIT FEROCE » RICARDO MENENDEZ SALMON
« LA NUIT FEROCE »
RICARDO MENENDEZ SALMON
Un roman exceptionnel,
une histoire étouffante,
des personnages sombres,
un coup de cœur exceptionnel.
Un écrivain espagnol à découvrir d'urgence.
« La Nuit féroce se déroule à cette époque, dans un de ces villages au nom étrange.
Le maître d´école est invité à partager une table dans une des maisons du lieu. Mais le terrible meurtre d´une jeune fille fige cette scène
et libère la brutalité qui sous-tend ce bourg perdu, lorsqu´un groupe d´hommes part à la chasse au meurtrier.
Deux innocents fuient, bientôt persécutés par la colère aveugle.
Un mal profond, … »
La santé, quel espace important pour soi !
J’ai reçu chez moi mes petits enfants et on a joué ensemble au loto et à la bataille navale .
On a ainsi partagé des moments forts de complicité et j’ai passé une excellente journée, qui redynamise mon moral parfois en berne, par ces temps de Covid.
Nous avons partagé la couronne des rois et j’ai eu le plaisir de trouver la fève. Devant les enfants j’ai laissé éclater ma joie.
On peut être heureux quand on entre dans la peau de l’enfant qu’on était.
Je suis allé faire une prise de sang à la médecine du travail.
La santé, quel espace important pour soi !
J’ai fait vérifier, au garage, l’embrayage de ma voiture car j’avais des soupçons.
L’œil du « pro » est parfois nécessaire et rassurant.
J’ai partagé goulument au dessert un éclair au chocolat, vendredi, avec mon épouse.
Les bons moments partagés sont importants tout au long de l’existence.
Il y a eu de la neige rendant les conditions difficiles pour se déplacer au travail.
Le nature reprend ses droits et on tendance à l’oublier. On s’adapte par la force des choses.
Oh la gourmandise, quel plaisir génial !
C’est moi qui fais la bûche de Noël. Tu comptes les bougies. Tu sais l’âge de mon frère, car il est né le jour de Noël. Il savait à l’avance la qualité du gâteau. Le jour où nous avons changé la bûche pour un autre, il a beaucoup ri.
Oh la gourmandise, quel plaisir génial !
C’est moi, au bureau. Je suis heureuse. Mes collègues ont fêté l’arrivée de mon fils. A côté, c’est une collègue qui a accouché en même temps que moi.
Victoire ! J’ai eu mon deuxième enfant ! Tralala, mon cœur chante la vie vivante, Tralala, Je danse sans bouger. Tralala, nous irons loin ensemble avec ton père et ta grande sœur !
C’est moi, dans la montgolfière, je lève la tête. Émerveillée par les flammes qui nous permettent de monter dans le ciel. La sensation d’être un oiseau : C’est super.
Une hirondelle vole, je vole aussi dans la montgolfière. Je suis libre dans le ciel
Je ne reviendrai pas sur terre, Je vole Je vole, Je vole.
C’est moi, un bas nylon sur les cheveux, une salopette : je repeins le plafond de notre chambre, debout sur un échafaudage.
Bras en l’air : Je suis la statue de la liberté ! Oui la liberté, la liberté, Alors je travaille.
C’est moi qui arrose un cochon de lait, qui cuit dans un grand barbecue. Il fait chaud devant.
Tourne, tourne :… Tout tourne, la terre tourne. Je suis une danseuse, je tourne, tourne, tourne encore sur la pointe de mes chaussons de satin.
C’est moi, en robe bleu, je caresse un âne au Pays Basque.
Moi je caresse, caresse encore et toujours, je donne de l’amour de la tendresse, des chatouillis et non des puces, comme dit le dicton .
Fleurs en Lego
On connaissait déjà les pompiers, les infirmières, les animaux de la ferme etc... en LEGO ,
Désormais ce sont des FLEURS que vous pourrez offrir à votre belle le jour de la St Valentin !
Oui oui, le fabriquant de briques de construction lance sa collection " botanique " , on peut y trouver des roses, des mufliers, des coquelicots ... le kit du bouquet réunissant ces trois fleurs comprend 756 pièces et le kit pour le bonsaï, disponible dès ce 1er février, comprend pas moins de 756 pièces, ainsi pourrez-vous prouver, outre votre amour... votre patience !
Messieurs, c'est à vous de jouer !
Les exquis mots en « virtuel », pourquoi pas ?
Les Exquis mots en « virtuel », pourquoi pas ?
Le défi est lancé,
pas insurmontable, pour qui veut bien s’en donner la peine :
Faire une répétition de groupe sur écran ;
En effet,
le confinement a amené progressivement, cette idée qui aurait paru loufoque, il y a un an , mais, pour pallier les difficultés à user d’une salle publique,
Pourquoi pas ?
L’aventure folle part de 3 ou 4 « forcenés » méritants ;
On verra, finalement, si tout le monde accrochera le wagon de queue.
Espérons que oui, car la Troupe restera la Troupe.
Tous les maillons qui la composent sont nécessaires.
Le jeu en vaut la chandelle !
LA BELLE EQUIPE de Mohamed HAMIDI, 2018
LA BELLE EQUIPE de Mohamed HAMIDI, 2018
avec Kad MERAD (l’entraineur) , Alban IVANOV (l’acolyte), Céline SALETTE (la capitaine) , Sabrina OUAZANI (la recrue) , Laure CALAMY (la femme du Président), Guillaume GOUIX (le mari de la capitaine)…
Après une bagarre, toute l'équipe de foot du village est suspendue jusqu'à la fin de la saison. Afin de sauver ce petit club du Nord qui risque de disparaître, le coach décide de former une équipe composée exclusivement… de femmes pour finir le championnat !
Pour ceux qui aiment le foot mais pas seulement,
pour ceux qui s’investissent dans le social, mais pas seulement,
pour ceux qui veulent une société équilibrée en terme d’égalité femme-homme , mais pas seulement,
je recommande ce très bon moment de divertissement
avec de très bons acteurs …
On pense à « UNE EPOQUE FORMIDABLE », de Gérard Jugnot, en 1991
à « FOURMI » de Julien Rappeneau en 2019 .
Bravo pour le traitement du sujet, tous les coachs sportifs ou culturels amateurs qui donnent sans compter au quotidien, vont s’y retrouver et apprécier.
Dialogues :
Au 1er entrainement de l’équipe de filles proposé par l’entraineur :
«- C’est quoi, ces exercices , on n’est pas au club Med là… »
Céline Salette qui laisse ses recommandations à son mari, avant d’aller au foot :
« -Mais, je t’ai tout mis sur les post-its sur le frigo.
-j’ai rien compris, moi … »
Laure Calamy à son mari Président du club
-« ..Mais j’étais au foot, tu sais le truc où tu m’emmènes tous les dimanches sans me demander mon avis… »
Laure Calamy à son mari, devant ses copines hilares du foot
« -Ben oui, Michel , je fumes… je fumes de partout… »
Routine
Déjeuner - écouter les informations – se lever - faire quelques courses – marcher –
discuter – lire – écrire- regarder une émission télévisée – apprécier la galette –
prendre une douche – diner –
Se lever - écouter les informations – faire quelques courses – marcher – discuter – déjeuner – lire – écrire – apprécier la galette – prendre une douche – diner – regarder une émission de télévision –
Routine.
Oui, plus que jamais, mes journées se suivent en se répétant, grosso modo, à l’identique. Bien sûr, quelques activités, moins régulières, viennent quelque peu agrémenter tel ou tel moment mais dans l’ensemble ce ressenti se prolonge. Est-ce la période inédite que nous vivons qui le veut, qui y contribue ? Je ne sais bien que je sois de plus en plus persuadé que la morosité ambiante ajoute à cette impression comme l’incertitude du lendemain pèse inconsciemment sur l’ensemble de la population. Beaucoup de personnes sont, me semble-t-il, marquées, profondément marquées pour certaines, par cette syndémie qui non seulement persiste mais à en croire des « experts » pourrait encore s’aggraver. Du coup, en raison des mesures sanitaires imposées, chacun est effectivement réduit, limité dans ses activités quotidiennes comme ses projets, même à court terme. Heureusement, pour ceux qui aiment lire, regarder films ou documentaires, l’évasion est permise momentanément. Dans ces conditions,
chacun peut reconsidérer ce qui devient dès lors, pour lui comme d’une façon plus générale, l’essentiel, l’accessoire, le superflu, l’inutile... Mais rien n’est jamais tout noir ! Que de nuances entre le noir et le blanc ? Comme entre le pessimisme et l’optimisme ! Ou entre le désespoir et l’espérance ! Ou entre l’abattement et la confiance ! À chacun de réussir à rester, malgré tout, debout sur la bonne marche de ces escaliers qui mènent de la cave au premier étage ! Le courage se manifeste aussi au quotidien. En particulier, chaque citoyen le sait !