Le temps qui passe
Boucar Diouf (biologiste humoriste chroniqueur ''sénégalais québécois), tente de résumer les impressions, les idées que nous connaissons bien
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Petit éloge de la douceur
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Petit éloge de la douceur - Stéphane Audeguy
Critiques (5), citations (9), extraits de Petit éloge de la douceur de Stéphane Audeguy. Quelques gourmandises dans celui-ci. `Nuages Les nuages sont impensa...
https://www.babelio.com/livres/Audeguy-Petit-eloge-de-la-douceur/21150
En ces temps incertains,
la lecture de ce petit livre de philosophie est un …
Bonheur.
M
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Pau : le Zénith l'M à l'infini
Il restait peu de mètres carrés inoccupés et encore moins de sièges libres au Zénith samedi soir. Pourtant, personne n'a demandé son reste à l'issue du concert ébouriffant de Matthieu Chedi...
https://www.larepubliquedespyrenees.fr/2019/04/14/pau-le-zenith-l-m-a-l-infini,2541261.php
Concert de M, à PAU le 13 avril 2019- « Lettre infinie »
M est le fils de
Louis CHEIDID (auteur-compositeur)
et aussi le petit-fils d’
Andrée Cheidid ( écrivain, prix Goncourt de la poésie en 2002) . Il descend donc d’une lignée riche en culture .
Son concert à Pau, nommé « Lettre infinie », comme le titre de sa chanson et de son album, est à la fois
intimiste et… stratosphérique !
En effet , ceux qui y étaient pourront en témoigner :
certaines des chansons sont dans la plus pure intimité, comme « Billie », alors que d’autres comme « super chérie » frôlent la démesure ;
c’est d’ailleurs ce qui fait la popularité de ce chanteur;
sa voix peut monter dans les aigus, comme le faisait Balavoine autrefois .
Il s’affuble d’une perruque en forme de « M », sur son front qu’il qualifie de « pintade » !
Il offre au public des lunettes « M » , c’est son cadeau .
Il se permet une traversée du parterre, assis devant son piano !
Plus tard, il traverse à pied, avec sa guitare, la salle, s’arrêtant devant des enfants , en guise aussi de cadeau .
Il n’a pas d’orchestre, bizarrement… et c’est , je dois le dire ,ce qui me déçoit un peu, laissant la place libre à ses « machines », qui enregistrent le son produit de départ .
Il ressort sa guitare rose,
en hommage à la naissance de sa fille Billie, il y a 16 ans ;
ça fait déjà 20 ans qu’il fait des tournées.
J’ai beaucoup aimé « Massaï » avec un solo de guitare à la clé qui déchire l’air de la salle pour te donner le frisson .
le Parvis
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Le Parvis Scène Nationale Tarbes-Pyrénées
Le site web du Parvis Scène Nationale Tarbes-Pyrénées présente la saison de la scène nationale, les spectacles de musique, cinéma et art contemporain.
Consignes récentes pour troupe
Le mouvement sur SCENE,
la dynamique
et le rythme sont primordiaux .
Il ne faut pas hésiter, dans le JEU, à se déplacer sur le PLATEAU ;
En effet,
ça amène de l’air et de l’EXPRESSION au dialogue ;
on capte ainsi l’attention du spectateur . On scotche son regard.
Attention toutefois… aux faux déplacements parasites ! BERK.
Gare au débit « TGV » du texte :
si l’on parle vite,
on n’est pas bien compris . Hein ?...
C'est le souci numéro un du COMEDIEN.
Dans son placement sur scène,
on évite de tourner le DOS aux spectateurs qui ,faut-il le rappeler, ont payé pour vous voir . Le PUBLIC est lésé. Comme c’est dommage !...
Blanche comme neige .
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Anne Fontaine, provocatrice bien élevée
Dans "Blanche comme neige", son dernier film sorti en salles mercredi 10 avril, Lou de Lâage croque les hommes avec gourmandise à défaut de la pomme du conte. L'occasion d'une petite incursion dans
https://www.telerama.fr/cinema/anne-fontaine,-provocatrice-bien-elevee,n6210589.php
En regardant par la fenêtre...
En regardant par la fenêtre...
Deux hommes, tous les 2 gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant 1H chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées , couché sur le dos. Les 2 compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.
Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
Les jours et les semaines passèrent. Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps. Dès qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul...
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors, tout à la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur :
Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager ? Commenta-t-elle.
Il y a un bonheur extraordinaire à rendre les gens heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.
Par BERNARD LAMAILLOUX
"Vingt-quatre heures de la vie d'une femme" de Stefan Zweig.
"Vingt-quatre heures de la vie d'une femme"
de Stefan Zweig.
Je l'ai acheté dimanche dernier dans un salon du livre où je dédicaçais à une dame qui vendait des livres d'occase pour 50 centimes d'euro.
Ce roman est un pur régal
et les personnages ont une épaisseur diabolique.
J'ai adoré ce livre, cette histoire, le rythme de l'écriture.
Un roman fabuleux !
A lire absolument.
Un roman formidable
ou comment une femme vit une passion destructrice avec un homme qui, lui, en vit une autre, toute autre passion.
ANNONCE POUR VENDREDI 19 AVRIL
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Pari Pssion : Famille gaaarde à vous ! Agenda Théâtre - Tarbes
Pari Passion : Famille gaarde à vous ! vendredi 19 avril à 20 h 30, au Pari. Famille Gaaarde à vous ! De Martine Poutou et Marc Garcia Afin de fêter les cinquante ans de son frère Pierre ...
http://www.tarbes.fr/agenda/Pari-Pssion-Famille-gaaarde-a-vous/9799/0