Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
reg-artsadeens.over-blog.com
Articles récents

Le temps qui passe

23 Avril 2019 , Rédigé par BD Publié dans #Ecrits

 Boucar Diouf  (biologiste humoriste chroniqueur ''sénégalais québécois),  tente de résumer les impressions, les idées  que nous connaissons bien 

 

À peine la journée commencée et ... il est déjà six heures du soir… A peine arrivé le lundi et c'est déjà vendredi.
 … et le mois est déjà fini.
 … et l'année est presque écoulée.
 … et déjà 40, 50 ou 60 ans de nos vies sont passés.
 … et on se rend compte qu’on a perdu nos parents, des amis.
 et on se rend compte qu'il est trop tard pour revenir en arrière …
 Alors… Essayons malgré tout, de profiter à fond du temps qu'il nous reste…
 N'arrêtons pas de chercher à avoir des activités qui nous plaisent…

 Mettons de la couleur dans notre grisaille…
 Sourions aux petites choses de la vie qui mettent du baume dans nos cœurs.
 Et malgré tout, il nous faut continuer de profiter avec sérénité de ce temps qui nous reste. Essayons d'éliminer les "après" …
 je le fais après …
 je dirai après …
 J'y penserai après …
 On laisse tout pour plus tard comme si "après" était à nous.
Car ce qu'on ne comprend pas, c'est que :
 après, le café se refroidit …
 après, les priorités changent …
 après, le charme est rompu …
 après, la santé passe …
 après, les enfants grandissent …
 après, les parents vieillissent …
 après, les promesses sont oubliées …
 après, le jour devient la nuit …
 après, la vie se termine …
 Et après c’est souvent trop tard....
Alors... Ne laissons rien pour plus tard…
 Car en attendant toujours à plus tard, nous pouvons perdre les meilleurs moments,
 les meilleures expériences,
 les meilleurs amis,
 la meilleure famille… Le jour est aujourd'hui… L'instant est maintenant…

Nous ne sommes plus à l'âge où nous pouvons nous permettre de reporter à demain ce qui doit être fait tout de suite.                                                 Alors voyons si vous aurez le temps de lire ce message et ensuite de le partager/copier.Ou alors vous le laisserez peut-être pour… "plus tard"...
 Et vous ne le partagerez "jamais" ….

Boucar Diouf

 

Lire la suite

Petit éloge de la douceur

22 Avril 2019 , Rédigé par PN Publié dans #LIVRES

 

En ces temps incertains,

la lecture de ce petit livre de philosophie est un …

Bonheur.

Lire la suite

TARBES en philo

21 Avril 2019 , Rédigé par PN Publié dans #thème libre

TARBES en philo

Refaire le monde ou l´empêcher de se défaire ?
Passionnant avec Alain BASIOU et Raphaël EINTHOVEN.

A TARBES , le weekend dernier , 400 personnes venues écouter parler de philo , pas mal !

Lire la suite

M

20 Avril 2019 , Rédigé par MG Publié dans #spectacles

Concert de M, à PAU le 13 avril 2019- « Lettre infinie »

 

M est le fils de

Louis CHEIDID (auteur-compositeur)

 et aussi le petit-fils d’

 Andrée Cheidid ( écrivain, prix Goncourt de la poésie en 2002) . Il descend donc d’une lignée riche en culture .

Son concert à Pau, nommé « Lettre infinie », comme le titre de sa chanson et de son album, est à la fois

 intimiste et… stratosphérique !

 En effet , ceux qui y étaient pourront en témoigner :

 certaines des chansons sont dans la plus pure intimité, comme « Billie », alors que d’autres comme « super chérie » frôlent la démesure ;

c’est d’ailleurs ce qui fait la popularité de ce chanteur;

 sa voix peut monter dans les aigus, comme le faisait Balavoine autrefois .

Il s’affuble d’une perruque en forme de « M », sur son front qu’il qualifie de « pintade » !

 Il offre au public des lunettes « M » , c’est son cadeau .  

Il se permet une traversée du parterre, assis devant son piano !

Plus tard, il traverse à pied, avec sa guitare, la salle, s’arrêtant devant des enfants , en guise aussi de cadeau .

Il n’a pas d’orchestre, bizarrement… et c’est , je dois le dire ,ce qui me déçoit un peu, laissant la place libre à ses « machines », qui enregistrent le son produit de départ .

 Il ressort sa guitare rose,

 en hommage à la naissance de sa fille Billie, il y a 16 ans ;

ça fait déjà 20 ans qu’il fait des tournées.

J’ai beaucoup aimé « Massaï » avec un solo de guitare à la clé qui déchire l’air de la salle pour te donner le frisson .

 

 

Lire la suite

le Parvis

19 Avril 2019 , Rédigé par MG Publié dans #Sorties weekend

Lire la suite

Consignes récentes pour troupe

18 Avril 2019 , Rédigé par MG Publié dans #Théâtre

Le mouvement sur SCENE,

la dynamique

et le rythme sont primordiaux .

 

Il ne faut pas hésiter, dans le JEU, à se déplacer sur le PLATEAU ;

En effet,

 ça amène de l’air et de  l’EXPRESSION au dialogue ;

 on capte ainsi l’attention du spectateur . On scotche son regard.

Attention toutefois… aux faux déplacements parasites ! BERK.

 

Gare au débit « TGV » du texte :

si l’on parle vite,

on n’est pas bien compris . Hein ?...

C'est le souci numéro un du COMEDIEN. 

 

Dans son placement sur scène,

on évite de tourner le DOS aux spectateurs qui ,faut-il le rappeler, ont payé pour vous voir . Le PUBLIC est lésé. Comme c’est dommage !...

 

 

Lire la suite

Blanche comme neige .

17 Avril 2019 , Rédigé par MG Publié dans #Ciné

Lire la suite

En regardant par la fenêtre...

16 Avril 2019 , Rédigé par MP Publié dans #Ecrits

En regardant par la fenêtre...

 

         Deux hommes, tous les 2 gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant 1H chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées , couché sur le dos. Les 2 compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.

  Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.

  Les jours et les semaines passèrent. Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps. Dès qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul...

  Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors, tout à la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !  

  L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur :

Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager ? Commenta-t-elle.

 

  Il y a un bonheur extraordinaire à rendre les gens heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.

 

Par BERNARD LAMAILLOUX

Lire la suite

"Vingt-quatre heures de la vie d'une femme" de Stefan Zweig.

15 Avril 2019 , Rédigé par PN Publié dans #LIVRES

"Vingt-quatre heures de la vie d'une femme"

de Stefan Zweig.

Je l'ai acheté dimanche dernier dans un salon du livre où je dédicaçais à une dame qui vendait des livres d'occase pour 50 centimes d'euro.

Ce roman est un pur régal

 et les personnages ont une épaisseur diabolique.

J'ai adoré ce livre, cette histoire, le rythme de l'écriture.

Un roman fabuleux !
A lire absolument.
Un roman formidable

ou comment une femme vit une passion destructrice avec un homme qui, lui, en vit une autre, toute autre passion.

Lire la suite

ANNONCE POUR VENDREDI 19 AVRIL

14 Avril 2019 , Rédigé par MG Publié dans #thème libre

Lire la suite