« Mon frère » de Daniel Pennac
« Mon frère » de Daniel Pennac
Chez Folio-140 pages.
Un livre tout en finesse,
à l’image du style de Daniel Pennac, auteur à succès, vu chez Bernard Pivot, par le passé.
Le très médiatique critique littéraire dit de Daniel Pennac:
« Pennac n’a peut -etre jamais écrit tout en même temps aussi bref, beau, juste, triste et gai. »
On y parle, pèle mêle, de théatre, de solitude, de littérature, de nostalgie, de fraternité…
Extrait :
« Je ne sais rien de mon frère mort si ce n’est que je l’ai aimé. Il me manque comme personne mais je ne sais pas qui j’ai perdu. J’ai perdu le bonheur de sa compagnie, la gratuité de son affection, la sérénité de ses jugements, la complicité de son humour, la paix. J’ai perdu ce qui restait de douceur au monde. Mais qui ai-je perdu ? ».
« Mon frère » de Daniel Pennac
Pois
Au printemps,
on se régale de petits pois
mais quand vient l’automne,
petit pois est devenu grand :
on le transforme en pois cassé .
Ce qui le cantonne plutôt aux purées
et aux soupes….
Velouté de pois cassés , un plat idéal pour l’automne !
La covid
La COVID en cinéma.
Avant le premier confinement :
La vie est un long fleuve tranquille (1988).
Au premier confinement :
La vérité si je mens ! (1997)
Peur sur la ville (1974)
L'hôpital (1972)
Et la tendresse ? Bordel ! (1979)
Au déconfinement :
Banzaï (1983)
Camping (2006)
La boum (1980)
Le grand restaurant (1966)
Au deuxième confinement :
Couvre-feu (1998)
Mask (2004)
Une vie volée (1999)
La terre de la folie (2010)
Pour les fêtes de fin d’année :
Le père-Noël est une ordure (1982)
Annoncés pour 2021 :
Le jour d'après (2004)
La vie est belle (1998).
La nouvelle « salle culturelle » d’Adé
La nouvelle « salle culturelle » d’Adé
Une nouvelle salle est née à coté de l’Eglise ,
ce n’est pas une salle cultuelle ,
mais culturelle ,
elle se nomme donc « salle culturelle »,
elle est indiquée par un panneau, quand on passe au centre du village ,
près du cabinet médical du docteur Louvet ;
la salle culturelle reçoit les spectacles décentrés du Parvis ,
les spectacles de la Ligue de l’Enseignement,
les répétions de théatre en hiver ,
les spectacles musicaux …
C’est une bonne initiative ,
nous sommes dans un village ,
pas dans une ville
et c’est le trait d’union indispensable à la vie sociale d’une commune .
" LE HERISSON "
A la fois « dur dur » et magnifique, cet après-midi inattendu devant la télé !
Rugby annulé je ne sais pas trop pourquoi, je m'en fiche en fait , je zappe, histoire comme ça de voir ce qu'il se passe sur le petit écran . Bingo ! LE FILM commence à peine et c'est
" LE HERISSON "
adapté de ce roman dont la lecture m'avait bouleversée
" L'Elégance du Hérisson " de Muriel BARBERY,
roman qui reçut, entre autres, le Prix des Libraires en 2007.
Impossible de me décoller du canapé,
je suis happée à nouveau par cette histoire oui oui sociale, mais aussi d'amitié, d'amour, de désespoir. ou d'espoir, tout se mélange. ...
Ah Paloma !
tu n'as pas 13 ans mais tu désespères de l'avenir ! Alors il y a cette concierge peu coquette , " Je ne suis que la concierge " , qui sous ses airs rocailleux et bougons cache une sensibilité et une culture réelles, une "élégance" ...
Il y a ce monsieur japonais d'âge mûr - que je trouve si charmant et si beau et dont je tomberais bien amoureuse si je le voyais en vrai - qui lui redonnera un sourire certes timide , difficile de renaître à l'espoir .
Et la petite Paloma, sans vraiment tout fait comprendre, retrouvera un sens à la vie, du moins, elle qui voulait se suicider, comprendra-t-elle ce qu'est la mort et décidera de vivre.
Le film de Mona ACHACHE, plus que fidèle au roman, le sublime même ainsi que le jeu des acteurs . Sarah Le Picard, Josiane Balasko et Togo Igawa sont bouleversants.
Je sèche à peine mes larmes,
il va falloir que j'aille un peu marcher dans la campagne, m'aérer, tant je suis bouleversée...bon bon, oh bien sûr dans le rayon autorisé !
Comme je t'aime
C'est fou comme je t'aime,
tu as modifié mon ADN,
tu es mon petit poussin,
mon antidote, mon vaccin.
C'est fou comme je t'aime,
tu as fait muter mes gènes,
je ne crains plus les chimères,
ni les séductions éphémères.
C'est fou comme je t'aime
j'tai dans la peau et dans mes gènes,
tu as modifié mon ADN.
« Mémoire de fille » – Annie Ernaux
« Mémoire de fille » – Annie Ernaux- Folio -2016-165 pages
Recommandé par « la grande librairie » un soir d’été 2020 .
Au verso :
«… j’ai voulu l’oublier cette fille. L’oublier vraiment, c’est-à-dire ne plus avoir envie d’écrire sur elle. Ne plus penser que je dois écrire sur elle, son désir, sa folie, son idiotie et son orgueil, sa faim et son sang tari. Je n’y suis jamais parvenue… »
Annie Ernaux replonge dans l’été 1958,
celui de sa 1e nuit avec un homme, à la colonie S dans l’Orne.
Nuit dont l’onde de choc s’est propagée violemment dans son corps et sur son existence durant 2 années.
Raphaëlle Leyris du « Monde des livres » dit :
« un livre d’une précision et d’une puissance fascinantes, qui restitue au plus près les sensations physiques et les émotions d’une ado de cette époque. »
« A l’aube revenant » Francis CABREL
« A l’aube revenant »
Francis CABREL
Nouvel album d’un artiste authentique et « de chez nous » (… »la rivière sur les caaailloux » …),
À ne pas rater !
C’est le 14 e album de sa carrière flamboyante,
Cabrel part d’une idée à lui ,
celle de rendre hommage aux… troubadours du Moyen Age … « Oyez, oyez, jeunes gens !... »
L’artiste d’Astaffort offre, comme toujours, de belles histoires,
Entre autres, un hommage à son père disparu…
Album « A l’aube revenant »
De Francis CABREL
Le bénévolat récompensé au Comité Départemental de Rugby
Le bénévolat récompensé au Comité Départemental de Rugby
Lors de la récente Assemblée Générale Ordinaire du Comité Départemental de Rugby des Hautes-Pyrénées à Azereix, deux dirigeantes, membres du C.D. 65 mais également figures de leurs clubs ...
http://www.lourdes-infos.com/65100lourdes/spip.php?article22334