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Tutu

31 Décembre 2021 , Rédigé par DP Publié dans #thème libre

Il est temps de rendre hommage à DESMOND TUTU ,

" l’infatigable voix des opprimés ” mort ce 26 décembre 2021 à l’âge de 90 ans, ce proche de Nelson Mandela, qui avait reçu le Prix Nobel de la Paix en 1984.

Africain du Sud, citoyen de la Nation Arc-en-Ciel, ancien instituteur et prêtre, devenu archevêque du Cap, il avait mené "tout au long de sa vie de nombreux combats pour la dignité humaine, le pardon et la réconciliation " = Le Monde.

" Aucun dérapage , aucun abus, aucune atteinte aux droits humains n’échappait à son courroux."

A noter que longtemps il fut pour les membres de la minorité blanche africaine ( au pouvoir de 1948 à 1994 mais qui, j’ai pu le constater lors d’un de mes voyages, n’a pas toujours vraiment digéré) " l’incarnation même du mal " car il disait que ce système de l’apartheid était " le système le plus vicieux jamais inventé depuis le nazisme "

Pour tous ces combats, Desmond Tutu mérite vraiment de reposer en paix..

 

 

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L'âme du théâtre

30 Décembre 2021 , Rédigé par MG Publié dans #Théâtre

L’âme du théâtre, qu’est-ce que c’est ?

L’âme du théâtre,

c’est l’Action de « faire le théâtre »,

de monter sur les planches pour réveiller un texte.

Je pense à mes années de collège à Nay lorsque j’ai découvert le théâtre sous forme de spectacle vivant après l’avoir lu en classe. Quelle révélation enchanteresse ! Quel plaisir ! Aussitôt vint en moi l’envie d’engloutir un maximum de pièces pour me régaler et découvrir de l’intérieur l’âme du théâtre.

L’âme du théâtre,

c’est aussi le travail, le travail qui peut amener le talent, mais d’abord le travail assidu, respectueux, régulier, humble.

La métronomie des répétitions amène progressivement à entrer dans l’âme, l’antre du théâtre.

L’effort, la foi, l’élan finissent par faire éclore la création, amener une confiance en soi retrouvée, une vraie acceptation de soi pour se sentir léger sur scène, si léger que le personnage prend sa place et s’impose.

C’est une force qui vous pousse,

comme une addiction qui s’installe,

devant les rideaux ou derrière ,

sur les planches ou sur le sol ,

dans une salle ou en extérieur ,

l’âme des arts de la scène est présente .

il y a comme un devoir de transmission pour les acteurs, de résurgence de trésor enfoui pour mieux le révéler au public, un peu comme dans la technique de la photographie.

L’amour des mots est toujours présent auprès des émotions.

Enfin,

l’âme du théâtre, c’est l’enfant que l’on a en soi et qui veut continuer à exister coûte que coûte, malgré, parfois, baffes et reproches .

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Si on chantait

29 Décembre 2021 , Rédigé par DP Publié dans #Ciné

Je viens de voir un film sympa " SI ON CHANTAIT" , le 1 er long métrage de Fabrice Maruca, et , vrai de vrai, comme j’étais seule dans la salle, j’ai chanté à plusieurs reprises, j’ai pas mal ri et de bon cœur.

Bon, certes un thème qui devient un peu récurent... un truc à la Full Monty, puisque des amis , un tantinet à la dérive côté boulot et vie privée, ont l’idée de créer une société de livraison de chansons à domicile ! " On vient chez vous, on chante les chansons que vous avez commandées ".

... Du coup, il y a les anniversaires mais aussi le mec que la fille plaque et qui le lui fait annoncer par une chanson devant ses collègues de bureau, et la vieille dame qui tombe dans les pommes, on se demande même si elle n’est pas carrément décédée , quand on vient lui chante Johnny ... C’est un film tendre, plein de bons sentiments, l’affiche dit qu’il va nous rendre heureux ... après tout pourquoi pas ?

Oui, cette comédie sentimentalo- sociale tourne rond, les acteurs se sont pris au jeu, on passe un sacré bon moment et ça fait un bien fou . Alors prenez le temps de visionner la bande annonce.

Décidément, voir 2 bons films en 2 jours, je trouve ça pas mal, hier soir à la télé c’était " JE VOUDRAIS QUE QUELQU'UN M'ATTENDE QUELQUE PART", un film choral porté lui aussi par le talent des acteurs.


 

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L’AMOUR AU THÉÂTRE

28 Décembre 2021 , Rédigé par NC Publié dans #Ecrits

L’AMOUR AU THÉÂTRE

DIALOGUE

LUI : sonne à la porte de sa dulcinée (très méfiante)

ELLE : lui ouvre : « bonjour, que me vaut votre visite si matinale ?» 

LUI : « je voulais vous souhaiter votre fête et vous proposer de passer un moment en votre compagnie. Accepteriez-vous de faire une balade ? »

ELLE : « Très bonne idée, pourquoi pas ? »

LUI : « que préférez-vous : la mer, la montagne, la campagne ? »

ELLE : « tout me plaît ! Du moment que je suis dans la nature !...

LUI : « cela nous permettrait de faire plus ample connaissance… »

Il ne perd pas son objectif de la séduire, mm… mm…

ELLE : « effectivement… avez-vous une idée du lieu ? »

LUI : « que diriez-vous du Pic du Jer ?»

ELLE : « avec plaisir, nous verrons le monde d’en haut, la vue est splendide ! 

La météo est favorable ! Chaussons nos baskets !

LUI : « il faut se le gagner le bonheur ! »

ELLE : « nous y verrons plus clair, là- haut ! n’est -ce pas ??? »

Les choses prennent une autre dimension, vues d’en haut !...

LUI : « vivons cette petite aventure ensemble ! »

ELLE : « avec plaisir et ne nous soucions pas du lendemain !»

LUI : « oh ! quand même… »

ELLE : « nous verrons bien de quoi demain sera fait !...

 Qui m’aime me suive ! »

 

 

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LES MOTS DES SALINES de Philippe NONIE

27 Décembre 2021 , Rédigé par MG Publié dans #LIVRES

LES MOTS DES SALINES de Philippe NONIE

 

Un livre tout en douceur, en lenteur et en poésie !

Oui,

c’est la perception que j’ai de ce livre après l’avoir lu.

LES MOTS DES SALINES contient des trésors d’observation de la vie de tous les jours du coté de Sète… des trains qui passent… et d’une histoire d’amour passée.

Philippe Nonie,

auteur bigourdan, a le don de conter les histoires ;

on pense, quand on le lit, à des écrivains comme…

Philippe Delerm, (« la première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules »)

à Modiano , explorateur du passé et ses états d’âme,

à Le Clézio et ses voyages

avec leurs sublimes univers… immobiles.

 

Voici la quatrième de couverture pour vous donner le goût de l’ouvrage :

« le sel de la vie – voilà bien l’une des plus belles expressions de la Langue française pour évoquer le plaisir en si peu de mots. On peut être explicite, économiser la langue, celle qui mélange les saveurs les plus exquises aux plus fragiles : la jouissance, la conscience d’être, la lenteur d’un instant d’exception, le gout des autres et de sois. Le sel de la vie. Si je m’étais attendu à ça…

Dans quelques instants ils vont se retrouver à Sète. Romancier anglais, Simon est devenu aveugle. Sophie travaille dans le monde de l’édition. Leur terrain va etre celui des mots. Des mots en forme de fleur de sel. »

Bravo Philippe ! Et continue longtemps à nous enchanter ainsi !

 

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« En attendant un miracle » de Thierry Binisti-2021

26 Décembre 2021 , Rédigé par MG Publié dans #thème libre

 

J’ai vu ce film un samedi soir, en prime time, sur France 3 ; c’est le film qui a été tourné récemment à Lourdes.

Avec le tandem efficace Frédéric Diefenthal- Anne Charrier.

Il s’agit d’une enquête policière menée vent debout dans les sanctuaires ;

en effet , un médecin a été retrouvé noyé dans l’endroit où l’on vient obtenir, quand on est croyant, un miracle ( une baignoire en pierre).

Les 2 enquêteurs sont Frédéric Diefenthal et Anne Charrier .

On se promène dans tous les lieux lourdais méritant une visite de curiosité à savoir les escaliers de pierre , le château fort , l’hôtel de ville , la rue de la grotte etc. il y a même le petit train ! Les parterres sont si verts et propres qu’ils semblent avoir été nettoyés à haute pression.

Localement, ce film ne manque pas d’attrait ; la maire (énergique) est une femme , on pense bien- sûr à Josette Bourdeu qui a exercé la fonction.

Dans « en attendant un miracle », on découvre un (faux) ancien miraculé qui s’installe à lourdes pour tenir un hôtel , ce qui n’est pas vraiment surprenant dans le milieu !

On entend de vive voix, le fait qu’on est « à Lourdes » et qu’on n’est pas là « comme ailleurs » ; cette phrase , on la croise tout le temps et on le ressent aussi .Meurtre sur fond de faux miracle ? Ou crime conjugal ? On en fait le tour, je vous le garantis.

Bonne opération de marketing pour Lourdes, il faut en convenir , même si de temps en temps elle se fait égratigner pour son exploitation outrancière , normal aussi...

 

 

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Pourquoi les poules...

25 Décembre 2021 , Rédigé par MG Publié dans #spectacles

« Pourquoi les poules préfèrent être élevées en batterie » one man show avec

Jérome ROUGER

Ce spectacle fut organisé par le Parvis , joué au Palais , à Lourdes.

Le professeur Rouger, Directeur de l’Ecole d’Agriculture Ambulante nous donne ( nous public) un cours sur les questions des droits des poules et des œufs ! Inutile de dire que nous sommes dans l’absurde , la métaphysique, le loufoque et que nous nous y entendons Bien.

Rouger ne manque pas de faire participer son public , imiter le cri de la poule lorsqu’elle vient de pondre un œuf , par exemple.

Rouger ne se gêne pas pour mettre à contribution Sylvie Mazurek , l’adjointe du maire de Lourdes , la prenant faussement pour exemple (son ancienne élève, soi-disant) , la félicitant d’avoir présenté au micro la soirée.

Il s’adresse à un jeune membre du public au 1er rang, à une femme du dernier rang au centre, il montre un diaporama fictif , au public d’imaginer les illustrations !

La salle est remplie, on peut dire qu’il s’agit d’un succès populaire en cette veille de fêtes de fin d’année , avec toutefois les bruits de renforcement de la pandémie du covid.

Une conférence déplumante pour des fou rires garantis ! L’association ADE était opportunément présente pour proposer à ses membres de participer à la soirée.


 

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Véro des Exquis Mots

24 Décembre 2021 , Rédigé par MG Publié dans #Théâtre

Entretien avec Véronique, technicienne aux Exquis-mots :


 


 

Comment es-tu parvenue, Véronique, à ton métier actuel ?

Je suis entrée en sixième, au collège-lycée Marie Curie de Tarbes, où j’ai passé le bac D (maths et sciences naturelles, ex SVT) . J’ai été reçue, en même temps, au concours d’infirmière et à l’entrée à l’IUT de Toulouse Rangueil, en Génie électrique. J’ai choisi l’IUT car « il vaut mieux casser des composants plutôt que des humains ». C’est ma conviction.

Avant, j’ai fait plusieurs petits boulots comme guichetière de banque ou secrétaire à France Télécom (ex Orange). Après mon DUT automatismes industriels, j’ai fait une année complémentaire en DUIT Animatrice Qualité en Entreprise . Enfin, j’ai fait plusieurs candidatures spontanées dont INFRANOR Lourdes en septembre 1993 où je travaille aujourd’hui. Mon statut officiel est « Technicienne de la Mise en Service » et « auditrice interne ».


 

Présente-toi, Véronique, si tu veux bien, pour nos amis du blog !

Je suis née en 1968 à Paris. Je suis célibataire, j’habite à Lourdes et mon « enfant » … c’est mon chat !

Je suis fille de fonctionnaires : ma mère était à la Mutuelle des PTT ( la Poste) et mon père travaillait à France TELECOM . Je suis arrivée à Tarbes en 1972 au quartier du FIGAROL d’abord, puis nous avons habité à Juillan au lotissement Bellevue. Les années à Toulouse furent « cool » car d’abord, j’étais autonome,

J’avais mon studio

et j’ai pu découvrir des sports originaux comme : le base- Ball ou le hockey .

J’ai profité aussi de l’offre culturelle locale avec des concerts, des films et des spectacles. Comme tous les étudiants, c’était parfois… l’Auberge espagnole.

En quoi consiste ton métier ?

Nous fabriquons des variateurs de vitesse afin de commander des moteurs. Nous utilisons des DSP ( Digital Signal Processor) , ce sont des microprocesseurs qui permettent de traiter les différents signaux. Nos variateurs sont mis dans des commandes numériques. Nous touchons divers secteurs d’activités comme la robotique, les éoliennes, le médical etc. L’environnement prend de plus en plus de place dans le traitement des déchets et les cartes des circuits imprimés sont de plus en plus petites.

Une anecdote ?

Un jour, un client nous a porté un variateur à réparer ; lors de l’opération de maintenance, une explosion s’en est suivie et l’un des deux techniciens, sur place, a piétiné son collègue, en fuyant, tellement il avait eu la frousse. Nous en avons ri, après coup.

Lors de mon recrutement, en 1993, le Directeur m’a dit qu’un bon point me concernant était l’habillement ; en effet, mon prédécesseur portait un pantalon troué et ça l’avait marqué !


 

Quelle est ta journée-type à INFRANOR ?

J’ai des horaires variables, je peux commencer ma journée entre 7h30 et 9h30 . je m’occupe de métrologie car mes appareils de mesure doivent être au point , pour satisfaire à l’ISO, de non conformités internes et externes ( SAV) et d’audit interne.

Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui veut se lancer dans le métier ?

Je lui conseillerais de se mettre tout de suite dans la spécialité d’étude pour ne pas avoir de retard par rapport à ses futurs collègues plus tard,

et pour posséder les bases indispensables, l’ABC , comme on dit .

Et si tu devais changer quelque chose à ton parcours, ça serait quoi ?

Rien, parce que j’ai eu la chance de réussir mes études et de me laisser porter par le destin. Le hasard a bien fait les choses, en quelque sorte ! Je n’aurais pas pu, ni voulu, faire ingénieur .

Sous quel œil vois-tu ton avenir professionnel ?

Il est vrai que je suis un peu inquiète car je redoute une reconversion forcée. Les Chinois pourraient bien racheter ma boite. Je ne suis pas sereine face à mon avenir professionnel. Une orientation professionnelle possible pour moi serait l’audit technique, pourquoi pas ?


 

Comment as-tu rejoint les exquis mots, troupe de théatre d’Adé ?

Je les ai rejoints grâce à ma relation de camarade avec Béa, la coprésidente actuelle. Il m’est arrivé de l’aider à répéter son texte à apprendre. J’ai fait 2 voyages touristiques en bus par le passé avec l’association A.D.E. , j’ai participé à l’atelier loisirs créatifs , en particulier, pour la confection de raconte-tapis pour les lectures de contes . Quand la troupe s’est retrouvée amoindrie en nombre, je me suis proposée pour épauler Jean-Louis à la technique.

Et quelle place occupes-tu ?


 

Ce que je fais, à mon sens, tout le monde peut le faire, mais ma présence est appréciée par le groupe et tant mieux ! Je ne mettrai pas un pied sur les planches, ce n’est pas du tout mon « truc », je suis trop timide. Je suis aussi inscrite à la gym à Adé, village où je me sens bien. Quand on monte le décor, je pense à un jeu de « meccano » géant, j’ai toujours aimé bricoler, petite. Mon surnom, c’est Véronique « sans son », allez savoir pourquoi ?


 

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Gilles, des Exquis Mots

23 Décembre 2021 , Rédigé par MG Publié dans #Théâtre

Entretien avec Gilles, comédien des Exquis-mots :


 


 

Comment es-tu parvenu à la Cuisine ?

J’ai passé mon CAP de pâtisserie en 1988, après ma troisième,

puis j’ai bifurqué vers la Cuisine avec un nouveau CAP, 2 ans plus tard.


 

Présente-toi, Gilles, si tu veux bien, pour nos amis du blog !

LE HOUGA, dans le GERS, est mon village natal, et j’y suis « apparu » en 1970.

J’ai fait mes études à NOGARO, au lycée D’ARTAGNAN

puis à AUCH au lycée PARDAILHAN.

J’ai fait mon service militaire à SAINT ASTIER ( Dordogne), puis à CLERMONT-FERRAND, dans la gendarmerie.

J’ai parcouru diverses étapes, comme PORQUEROLLES, TOULOUSE, MIMIZAN, LUZ -ARDIDEN, LOURDES, divers contrats de travail saisonniers avant d’arriver à PONTACQ.

Cite-nous un point technique dans le métier qui t’a bien plu ?

J’ai apprécié la découverte du désossement des viandes, au « Christ roi » à Lourdes.


 

Quelle est ta journée-type à l’hôpital long séjour de Pontacq ?

Ma journée commence vers 6h30 et se termine à 14h.

Ma pause-repas est à 13h30.

J’ai observé une différence énorme dans mon agenda quand j’ai enfin obtenu mes weekends au centre de long séjour. J’ai dû apprendre à…m’ennuyer !

3 fois par mois, je fais 10h30- 18h.

Comme je travaille certains jours fériés, je récupère des congés.

Notre CE, c’est la CGOS.

À Noël, depuis 3 ans, c’est moi qui fais le Père Noël.

Quel conseil donnerais-tu à un quelqu’un qui veut se lancer dans le métier ?

De faire de l’apprentissage pour pouvoir connaître le travail sur le terrain,

de varier les établissements au début,

d’essayer pourquoi pas le compagnonnage.

Et si tu devais changer quelque chose à ton parcours, ça serait quoi ?

Je tenterais d’approfondir le métier de pâtissier ; en effet, j’aime bien le coté créatif de l’emploi.


 

Et à Adé, avec les exquis mots, comment ça se passe ?

Mon intégration est remarquable, à mon sens. On se dit tout dans la troupe. On s’amuse bien, souvent. Jeune, j’avais toujours aimé le théâtre en tant que spectateur mais là, sur les planches, devant un public, avec un décor, ça prend une autre tournure, une autre dimension. C’est mon ancien propriétaire (ex pensionnaire de la troupe) qui m’avait dirigé vers cette compagnie que je ne connaissais pas. Il me tarde de jouer sur des scènes  . Je dois encore progresser dans l’articulation de mes phrases.


 


 


 

 

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« La jeune fille et l’araignée » de Ramon et Silvan Zürcher.

22 Décembre 2021 , Rédigé par MG Publié dans #Ciné

« La jeune fille et l’araignée »

de Ramon et Silvan Zürcher.

film suisse, vu au Parvis,

avec, dans la distribution, Henriette Confurius,

Un enchevêtrement de relations amoureuses (ou pas) qui nous sème et nous perturbe , on a l’impression que tout est possible :

il y est question de déménagement d’un appartement , et dès lors, un certain nombre de personnes se tournent autour, s’approchent, se « sentent » etc.. Celles qui partent, celles qui arrivent, la mère, les réparateurs, la voisine…

On se trouve comme dans un jeu de société , où les variantes sont infinies. Cartésiens, abandonnez l’idée de voir ce film, car on se trouve ici, dans un récit à sensations primant sur l’action.

Le style du réalisateur est original et fluide, car tout glisse inexorablement et tout fuit en même temps.

Curieux !


 


 

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