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Je suis allé au Musée de la Déportation et de la Résistance de Tarbes
Je suis allé au Musée de la Déportation et de la Résistance de Tarbes, 63 , rue Georges Lassalle, pour y admirer une exposition de littérature jeunesse et BD sur la Seconde Guerre Mondiale.
Ma visite s’est finalement concentrée sur l’exposition permanente, créée par des associations d’anciens déportés et résistants ; en effet, il y avait au même moment, une projection qui m’empêchait d’accéder à la salle en question . Pas grave, puisque j’en ai « profité » pour entrer dans l’Histoire ...
Quel séisme ! Je ne m’attendais pas, à ce point, à l’émergence de toutes ces émotions enfouies, issues des horreurs de l’envahisseur nazi. Les détails de la Guerre sont là, les armes (grenades, pistolets, fusils...), les photos des prisonniers affamés, torturés, les camps, une potence, les listes de résistants pyrénéens …
J’ai adoré comprendre ce que ces pauvres gens ont subi , savoir ce dont l’Ennemi cruel était capable, et pourtant, j’en savais déjà , comme tout le monde autour de moi ; sauf qu’on oublie ,parfois, un peu trop et que par les temps qui courent, l’actualité nous rattrape. L’invasion de l’Ukraine par la Russie, certains valeurs nauséabondes qui ressortent au moment des élections présidentielles françaises…
Une visite au Musée de la Déportation et de la Résistance à Tarbes s’avère être une nécessité, pour tous.
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Constat agréable
Un constat agréable : quand elle le veut, une fleur arrive à s’épanouir n’importe où !
Bonne soirée.
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A propos des LUNETTES de Fabien Galthié
A propos des LUNETTES de Fabien Galthié:
Interrogé au sujet de ces lunettes protubérantes, le technicien nous livre enfin l'explication d'un secret aussi bien gardé que les combinaisons en touche du XV de France. « Ce sont des lunettes de sport en plastique qui permettent de courir, de tomber car je cassais toutes mes lunettes avant », détaille Fabien Galthié. « Ma vue s'est dégradée vers 46-47 ans. Il a fallu que je mette des lunettes plus fortes mais surtout que j'arrête de les casser. »
L'ancien demi de mêlée, qui ne s'économise pas pendant les entraînements des Bleus , joignant souvent le geste à la parole, a trouvé son bonheur « chez un ami opticien à Toulon », où il a entraîné le RCT en 2017-2018. « Elles ne bougent pas, je peux joueur au squash, au golf, je peux courir avec le ballon à l'entraînement », se félicite le patron des Bleus à propos du modèle qui est notamment porté par les basketteurs. Quant au look futuriste procuré par l'armature, tout est affaire de goût. « Ma maman n'aime pas. Mes enfants ne disent rien, ils sont gentils avec leur papa. »
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« Cinquième set » de Quentin Reynaud
« Cinquième set » de Quentin Reynaud , avec Alex Lutz (« Guy »), Ana Girardot,Kristin Scott-Thomas
vu hier à la télé, ce film qui était passé au travers de ma raquette, en salle ,lors de sa sortie. On y retrouve Alex Lutz dans ses compositions hors pair. Après ce film magistral « Guy », dans lequel il interprétait de façon hypnotique,un vieux chanteur à succès, le voici dans le rôle d’un « vieux » joueur de tennis sur le retour. Il a 37 ans et décide de passer les qualifs à Roland Garros, son dernier baroud d’honneur, mais il y croit et il est le seul. Pour se motiver, il se répète en boucle les exploits épiques de Connors à 42 ans, de Gerulaitis...
Toute la mise en scène repose sur les longs portraits du tennisman ; et c’est vrai qu’on passe notre temps lorsqu’on est fan d’un joueur, à l’observer sous toutes ses coutures ;nos anciens posters dans la chambre en témoignent.On y assiste aussi, à de longs échanges de tennis, sur la terre battue, avec toute la dramaturgie qui peut aller avec, car ceux qui suivent ce sport connaissent bien ça. Le Duel entre le jeune espoir français , Thosso, et l’ex espoir, Edison, est de toute beauté. A cela, il faut ajouter les blessures multiples, le couple et ses besoins, la mère et la vision de son enfant …
Bravo à toute l’équipe de « 5e set » pour ce film... « Cerise sur le gâteau » !
Deux moi
Hier soir, j’ai failli passer à côté d’un petit bijou de film, j’espère que de votre côté vous ne l’avez pas raté.
C’était sur France 2 : " DEUX MOI " de Cédric KLAPISCH, sorti en 2019.
Klapisch s’y montre un fin scrutateur de notre époque où les destins se côtoient, voire se juxtaposent sans forcément se rencontrer. On se croise dans la rue sans se voir, on est assis dans le même wagon sans le savoir et ... comme Rémy et Mélanie, on habite deux immeubles mitoyens en prenant chacun l’air sur son balcon en même temps sans se douter de la présence si voisine de l’autre . On prend l’air ? ...enfin presque, puisqu’en bas ce sont les métros qui se croisent avec leurs multitudes de vies qui s’ignorent ...on est à Paris !
Rémi et Mélanie vivent chacun leur vie assez seuls, l’un et l’autre vont voir un psy pour tenter d’aller mieux. Oh, ce n’est pas la catastrophe, c’est comme un ennui, une solitude, un rien indescriptible qui fait que le sommeil est difficile à trouver. Les deux tapotent au hasard sur leur smartphone. Y aurait-il là une rencontre possible ? Le lien social est devenu plus virtuel que réel, c’est ainsi. La ville est grande, on ne s’y voit plus, on ne s’y rencontre plus. Le montage intelligent de Klapisch met en valeur ces vies juxtaposées. Des images côte à côte, des tranches de vie similaires en 2 plans qui se suivent.
Souvent les deux jeunes gens se croisent ou marchent l’un derrière l’autre sur un même trottoir, se frôlent même parfois et LA QUESTION est là : SE " TROUVERONT " -T-ILS UN JOUR ? On a peur, se pourrait-il que non ? ...Un petit chat blanc déjà les unit mais c’est à leur insue.
Ah ce Klapisch, comme je l’aime ! et qu'elle bonne soirée on passe quand un film avec finesse , tendresse et intelligence vous parle de ce qui vous concerne .
ps : les deux acteurs sont justes et touchants, Ana Girardot et François Civil .
Cabane
Pendant que des adultes fous détruisent à coup de bombes des maisons, mes petits-fils construisent une cabane.
Il y a les destructeurs et des bâtisseurs.
Toupine
Tout petit, tout petit Toupine qui se prend pour Alexandre le Grand. Encore plus laid qu'un Bogdanoff, tout petit Toupine veut nous faire jouer à la roulette russe, caprice d'un sous-tsar pour voler un territoire. Tout petit Toupine rêve de grandeur sans doute parce qu'il a un tout petit zizi. Il est juste à la hauteur de la bassesse humaine, s'agitant comme une larve, agaçant comme une puce,un poux ou un tic. Tout petit Toupine nous menace même de ses gencives d'être nu et clair! On en a connu d'autres avant toi et comme pour eux, petit Toupine, on t'oubliera dans les arcades de l'histoire comme on se remet d'un cancer quand on en guérit. Alors petit Toupine arrête ton char!
Élever ses enfants...
Élever ses enfants : tout le monde a entendu au moins une fois "cet enfant est bien élevé ". Non mais je rêve ! L'élevage, comme l'élevage de poulets ou de vaches! Vous êtes-vous déjà posé la question de savoir si derrière un enfant bien élevé il n'y avait pas maltraitance ? On élève des animaux pour les conduire à l'abattoir ! Non les parents n'ont pas la charge d'élever leurs enfants, ils ont la responsabilité d'abord de les aimer et ensuite de les éduquer. On peut ne pas les élever et quand même fixer des règles. Mais chaque règle, chaque limite doit s'accompagner de bienveillance, d'explications et de pédagogie.
Nouvel an chinois et...chou blanc !
Mais oui, aujourd'hui le 1er février, c’est bien le Nouvel An Chinois et nous entrons dans l’année du Tigre d’Eau.
Cet animal symbolise l’indépendance et le courage. D’autre part il est intuitif et tourné vers la famille. Il agit aussi avec prudence et ne flanche pas face aux événements difficiles.
Voici quelques bannières qui fêtent cette nouvelle année, il y en a de très belles.
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Il y a des jours où ça ne va pas …ou chou blanc !
Hier, dimanche, à 15h, je voulais aller voir la pièce « ATTENTION POUBELLE EGAREE» jouée par la compagnie A TIRE LE RIDEAU, de l’Entente BATSURGUERE ,mise en scène par Patrick LODE ; hélas, 3 fois Hélas, la porte de la Maison Des Associations de TARBES était fermée, close, rideau tiré, et la pièce était annulée sans véritables explications ; partie remise !
il y a des jours où ça ne va pas …ou chou blanc !
Mort d'un photographe et Maisons de retraites sous surveillance
Et un événement bien triste et qui en dit long hélas , sur notre époque ...même si je ne veux pas trop généraliser.
Le photographe qui a immortalisé le flamenco avec tant de talent, RENÉ ROBERT, un artiste que tous disaient " doux, sensible, discret,humaniste et talentueux ", est MORT COMME UN CHIEN SUR UN TROTTOIR de Paris où, après une chute, il a agonisé pendant de longues heures, sans qu’aucun passant ne lui vienne en aide !
Un de ses amis dit qu’il est mort " dans l’indifférence générale ".
Pour lui rendre hommage, je suis allée rechercher quelques photos où il sourit, ainsi que quelques- uns de ses clichés.
Je ne le connaissais pas, mais je suis triste . Et je plains ces passants qui sont passés près de lui, sans un coup d’œil, qui l’ont laissé crever sur le béton.
Ont- ils seulement conscience de leur ignominie ?
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Maltraitance des pensionnaires dans les maisons de retraite du groupe Orpéa:
C'est Orpéa des tortionnaires !
C'est l'opéra des actionnaires !
Que les dirigeants aillent en prison
et eux, ils ne seront pas rationnés,
et eux, ils seront soignés .
