ecrits
2 gros délires.
Voici une photo incroyable prise aujourd’hui sur une plage de la Grande Motte ! On peut dire que ce week-end Pascal, les forces de l’ordre n’ont pas chômé !
Armés jusqu’aux dents, 9 gendarmes ont infligé 3 amendes de 135 euros chacune, à une famille qui déjeunait tranquillement avec leurs enfants. Et ce...pour avoir sorti une bouteille de rosé ! On imagine la peur et l’incompréhension du gamin. C’est honteusement disproportionné.
Les forces de l’ordre devraient plutôt faire des descentes dans les diners clandestins, où ces messieurs et dames payent cher pour, en douce, ” déguster la gastronomie française " a dit Pierre-Jean Chalençon qui les reçoit ainsi, en douce dans son Palais Vivien, et rappelle qu’il a " beaucoup d’amis au gouvernement ».
Oui, il y aurait eu des ministres qui y participaient. Et puis " C’est pas un repas clandestin, c’est un hommage à Napoléon " a commenté un chroniqueur chez Hanouna.
2 gros délires.
Chant
Atelier d’écriture :
Chaque fois que les voisins se réunirent sans l’avoir invitée,
elle se disait :
« Comme les habitants de ce quartier sont sympathiques, ils sont très joyeux, leurs rencontres sont animées de musique et chansons, l’ambiance entre eux semble bonne !
Quant à moi ,
je serai la plus heureuse le jour où ils auront trouvé l’adresse d’un professeur de chant et de solfège. »
Chaque fois que les voisins se réunirent sans l'avoir invité, la stupeur d'Achille grandissait, enclin à de multiples questionnements face à cette situation. Pour quelles raisons ces gens le snobaient-ils ainsi ? Il s'était pourtant montré des plus courtois lorsqu'il avait emménagé dans sa nouvelle demeure. Quand il s'était présenté à eux, il avait bien senti comme une gêne par leur regard fuyant, leur désir d'en finir vite et de lui fermer la porte au nez. Que cachaient-ils donc ? Achille savait qu'il n'en était nullement responsable. Leur comportement de fuite exprimait juste qu'ils avaient un secret bien gardé. Il lui avait fallu attendre des années, six ans peut-être pour comprendre l'objet de ce rejet et ce qui se tramait derrière ces murs. Récemment, l'hélicoptère de la police nationale avait fini par repérer des plants de cannabis dans leur jardin.
Bretagne
La mère de Benjamin était originaire de Bretagne.
Artiste-peintre, elle s'était établie à Saint-Jean-de Luz, séduite par ce lieu. C'est sur le port qu'elle avait croisé Arnaud, marin-pêcheur. Entre eux, ce fut « le coup de foudre », comme on dit. Mais, très vite après la naissance de leur fils, le couple avait senti qu'ils n'avaient rien à faire ensemble. Benjamin avait huit ans lorsque son père lui annonça que sa mère était partie. Isabelle venait de rencontrer Graham, un homme fortuné venu du Canada pour affaires. Le vol Biarritz-Québec fut sans retour ! Benjamin grandit, entouré de l'affection de son père et de ses grands-parents paternels. Par cela, il avait appris à se méfier des femmes. Une analyse l'avait alors aidé à y voir plus clair et à reprendre confiance en lui et en la vie. Il était désormais en paix avec lui-même.
par Jupiter
Chaque fois que les voisins se réunirent sans l’avoir invité
Chaque fois que les voisins se réunirent sans l’avoir invité, un arc en ciel se dessina dans le ciel. La pluie se mit à tomber, drue. La cité d’Athènes fut inondée rapidement. Son pouvoir était si puissant qu’il pouvait commander la météo. Il était Zeus et ça devait se savoir. Il était le dieu de l’univers. Nom de Zeus !
covid
Allez, la prof de français se réveille !
Doit-on dire LE ou LA covid ?
Moi, j'aime bien le féminin et j'aime bien l'Académie quand elle donne son avis , même quand c'est un peu tardivement ...bonne journée à vous, mais que ça ne vous tracasse pas trop .
C'est un p'tit bleu d'Auvergne
C'est un p'tit bleu d'Auvergne
Qui a quitté son Cantal natal
Pour amener sa promise- la Belle des champs-
Pour lui conter fleurette en mer de Bretagne.
À marée basse
Ils ont cherché des Boursins
Puis à marée haute,
ils ont partagé la volupté d'autres fromages.
C'est une belle histoire Comté
pour garder l'Emmental,
le tout servi sur un plateau.
Fontaine
Il ne faudra jamais, dorénavant, dire jamais, prononcer ce terme, ce mot. Les raisons ? Plusieurs semblent évidentes.
Chacun de nous, au fil du temps, de sa vie change, évolue. Et donc nos points de vue, nos affirmations, nos visions reflètent, successivement, ces évolutions. Rien de plus logique, à vrai dire. Mais, du même coup, les risques de se contredire soi-même, sans le vouloir, sans en avoir parfois conscience, sont réels. En conséquence, qui, avec le temps, ne veut pas, du moins qui veille à ne pas se retrouver en complète divergence avec telle ou telle suggestion, telle ou telle remarque, à quelques années d’écart, a, par anticipation justement, à adapter un langage qui en principe, ne le permet pas. Jamais est un de ces mots qui peut, à terme, effectivement, révéler des contradictions flagrantes et, parfois, plus ou moins préjudiciables. Pour autant, difficile de rester, en tout temps, en tout lieu, soi-même !
De même, le monde, la société, les mœurs subissent, pour différentes raisons (économiques, sociales, environnementales, culturelles...), des changements, des bouleversements, des évolutions qui conduisent, fatalement, les êtres vivants, tous, à s’adapter et donc à des comportements, des jugements, des analyses, des conclusions, des paroles qui n’ont plus rien à voir en comparaison à ceux qu’ils avaient pu avoir, défendre, dire, il y a seulement quelques années. En toutes circonstances, à chacun d’assumer, d’expliquer, de se justifier... sans trop se dédire. D’où l’importance des mots et tout particulièrement de certains. Et encore davantage, de leur emploi ou non. Jamais, oui, est à proscrire. « Fontaine, jamais, je ne boirai de ton eau » : qui se permettrait de prendre comme devise cette phrase ? Ne faut-il jurer de rien ?
À bon entendeur, salut !