La danse
L’enfance, mon enfance, en France, c’était la Danse, lors des boums ou bien des anniversaires ;
ce qui fait qu’aujourd’hui, j’ai espoir de penser que je danse bien.
Autrefois,
je dansais seul sur le Disco, le Funk ou le Rock ,
tout en regardant ou jouant avec mes partenaires.
J’enviais aussi ceux qui faisaient danser leur partenaire :
d’abord, c’était gracieux, fluide et rythmé.
Ensuite, c’étaient des relations naturelles, amusantes et surprenantes, dues à l’instant présent. Tous les espoirs étaient permis pour le cavalier dansant et divertissant.
Pour moi, l’ouverture était ailleurs :
dans les regards,
les attitudes ,
les sourires furtifs.
Ce n’est qu’au moment des slows qu’il pouvait y avoir « approche »...
Aujourd’hui ,
à travers les danses de salon, on perpétue cette facilité à danser à deux et c’est tant mieux pour ceux qui ont goûté à ce plaisir dès leur jeunesse.