pause
A partir d’aujourd’hui,
le blog se met en pause vacances ;
il rouvrira aux alentours du 27 aout ;
en attendant ,
pensez à vous !
Prenez le temps de la vraie lecture,
des repas en famille,
des découvertes touristiques ,
de l’attrait du soleil ;
toute l’équipe de rédacteurs du blog reg-artsadéens vous remercie d’être assidus et vous souhaite de très bonnes vacances d’été 2019 !
Flash back sur la soirée moules-frites d'Adé
La soirée festive de la st Jean à Adé a été commentée et visionnée un grand nombre de fois sur ce blog ;
c’est vrai que 250 convives au repas moules- frites est un excellent score à mettre à l’escarcelle du jeune comité des fêtes du village d’Adé , les « as de la friteuse » .
Ils se sont décarcassés pour la bonne cause et félicitons les encore une fois !
Les moules-frites sont désormais un « classique » à Adé. Les coquillages s’ouvrent, soit entre eux, coque à coque,
soit avec la fourchette à l’intérieur ,
c’est vous qui voyez ! …
Coco aux Exquis Mots d'Adé
L’article dédié à l’arrivée de Coco a rencontré un joli succès parmi vous, lecteurs de ce blog reg- artsadéens .
Il est donc temps de revenir dessus.
Coco, ou Jean -Claude Ribeiro,
nous permettra de prolonger l’aventure de FAMILLE GAAARDE A VOUS cet automne .
Il vient de Loubajac, pas bien loin d’Adé ;
c’est un ami de Martine, retrouvé à l’occasion d’un repas de retrouvailles d'anciens camarades de l'école communale.
Coco a une grosse envie de jouer au théatre
et "l’occasion fait donc le larron", comme le dit l’expression confirmée .
A bientôt, Coco !
YVES
« YVES » de Benoit FORGEARD, William LEBGHIL(« le sens de la fête » , série « Soda » ), Doria TILLIER (« Monsieur et Madame Adelman »), Philippe KATERINE(« Le grand bain »).
Yves…c’est un frigo ! qui finit par prendre le contrôle de son rappeur de propriétaire, joué par William Lebghil. Une farce singulière et rythmée aux accents politiques.
On touche, dans cette comédie romantique, aux limites de l’intelligence artificielle. A quoi bon faire des robots intelligents ?...
Benoit Forgeard utilise astucieusement, en même temps, l’Humour et l’Amour et c’est adroit.
La vérité sort- elle de la Science ? ça reste à prouver et c’est le propos de « YVES », film singulier méritant le coup d’œil… léger.
tennis
Hier soir,
je me lassais un peu de ces matchs de tennis interminables,
alors, j'ai demandé à Mme Google ce qu'elle en pensait ,
voici sa réponse:
- « J'aime bien le tennis car c'est un sport qui apprend à faire des revers... plutôt que d'en subir » .
Belle journée à vous, arrosée certes mais, sans revers ...
« LEURS ENFANTS APRES EUX » De Nicolas MATHIEU.
« LEURS ENFANTS APRES EUX »
De Nicolas MATHIEU.
Actes SUD -2018
On y traite avec une vraie mélancolie, d’errances de jeunesse,
autour des années 1990,
y compris 1998, année du titre de champion de la planète pour super-Zidane et les siens.
La découverte de la sexualité est
au programme du jour pour de jeunes jouvenceaux,
coincés dans un étau complexe de la vie ordinaire.
Anthony,
avec son petit défaut au niveau de la bouche,
est l’un des personnages principaux ;
Hacine, un gars d’une autre bande,
lui vole sa moto, ou plutôt
la moto de son père et… les ennuis commencent ainsi .
La ville d’HEILLANGE dans l’Est
est évoquée sous toutes ses coutures,
d’autant plus facilement qu’il n’y a pas grand-chose à y faire , sinon d’y
trainer, un peu comme au « bled »
et d’y observer le temps immobile
depuis que les hauts -fourneaux magnifiques ont fermé .
L’auteur Nicolas Mathieu, né en 1978,
a obtenu , avec cet ouvrage de 426 pages, la récompense du prix GONCOURT 2018.
Sortie à Lescar
Avec notre club du village,
sortie , samedi dernier sur Lescar, qui est à peine à une douzaine de kms ... parfois les trésors proches de notre patrimoine restent pratiquement inconnus. ...alors, quand ils existent, autant aller à leur rencontre.
Ici, exposée au musée de Lescar,
la mosaïque d'une villa gallo-romaine, la villa St Michel datant du 4 eme siècle , alors que Lescar se nommait BENEHARNUM , et mise au jour en 1970 lors de travaux de rénovation.
Merci à Marie-Pierre de l'Office de Tourisme d'avoir guidé cette visite.
« Dans le noir » … à Carapatte
« Dans le noir » … à Carapatte
Carapatte ! C’est le festival de théâtre des enfants, des adolescents du département. Il rassemble, chaque année, tous les jeunes comédiens des Hautes-Pyrénées qui s’y produisent au terme d’une année d’un travail détaillé, dans leurs communes sous la houlette des « animateurs » (ou professeurs, terme au choix). Cette année 2019, ce festival s’est déroulé à Luz-St-Sauveur (65). Osons nous permettre, une fois encore, qu’il mériterait une plus large couverture par la presse locale même si malgré tout un mieux est à noter !
« Dans le noir » : tel est le titre de la pièce qui y fut jouée par trois comédiens (moins de dix-huit ans, deux filles dont une Adéenne, un gars) samedi soir dernier.
Très bonne prestation de ces jeunes acteurs qui, déjà, se révèlent, à travers leur passion commune, très performants sur les planches (présence, expression, déclamation...). Bravo à eux... ainsi qu’à leur « animateur » qui les a guidés tout au long des mois précédents avec beaucoup de plaisir si l’on en croit les éloges qui ont été les siens en fin de spectacle.
Dès la sortie (assez tardive), au cœur d’une nuit plutôt noire aux pieds de tous les sommets environnants, comment, après les péripéties de l’intrigue, le rôle des personnages, comme tout spectateur sans nul doute, ne pas s’interroger, réfléchir, à nouveau et toujours, sur la complexité (parfois stupéfiante) de l’être humain ? Par exemple, peut-on envisager, prévoir ce que seront les réactions d’un homme après le décès de sa femme (ou inversement), ce que sera alors son attitude envers autrui ?
Bien sûr, chacun(e) sait pertinemment qu’il est vraiment impossible de répondre par anticipation à ces questions tant les cas connus (ou entendus, lus) sont singuliers et parfois aussi pour le moins surprenants. D’ailleurs, pour approfondir notre introspection, pouvons-nous, les uns et les autres, affirmer raisonnablement par avance ce que seraient nos propres réactions, notre comportement devant des situations aussi pénibles à vivre, ou même plus simplement devant l’ébranlement que procure la connaissance de telle ou telle vérité ?
Pour terminer, ces mêmes comédiens interprétèrent « La dent noire », autre pièce bien plus courte mais qui interpelle et invite, tout autant que la précédente, à la réflexion puisqu’ici, c’est la naissance, avec ses risques inhérents (cordon ombilical autour du cou...), qui était abordée.
Fructueuse soirée, tant sur la scène pour les artistes que dans la salle (et après) pour les spectateurs ! Oui, encore bravo, félicitations ! Dommage que le public n’ait pas été plus nombreux !