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theme libre
le large
Bonne soirée face au large ,
à humer les senteurs océanes ,
pour s'éloigner des débats belliqueux .
Débats vraiment ? non, aucun dialogue n'est possible .
Alors, respirer profondément,
s'enivrer de l'air marin et ne penser qu'à l'Océan ...
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Récit de Compostelle
Jour 1
chemin de Compostelle
Bergerac-Lalinde : 25 kms.
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Pause
Voici venu le temps de la pause estivale du blog,
et tous les rédacteurs se joignent à moi, pour vous souhaiter de bonnes vacances 2021 !
Nous avons passé en votre compagnie de fabuleux moments de lecture, d’information, de poésie .
La reprise, très vite, est prévue pour le samedi 14 août 2021 ...
« SMOTHER »
« SMOTHER » de Kate O’riordan avec Devla Kirwan
Série policière irlandaise de 6 épisodes ,diffusée sur Canal dont le titre signifie « étouffer » ,
La mère de famille , une fois n’est pas coutume, devient spontanément enquêtrice , elle a 3 filles et son ex- mari Denis a été tué ,
Série remarquable de portraits . L’intrigue va nous dévoiler, au fil des épisodes, qui était vraiment le défunt et à quel point, ce personnage abject exerçait une emprise sous forme de harcèlement sur tous les membres de sa famille (épouse, frère, enfants, petits enfants).
Au fur et à mesure de la série, nous réalisons que chaque membre de la famille pourrait être l’assassin, tant Denis a eu une attitude odieuse .
J’ai aimé le jeu d’actrice de la blonde Devla Kirwan, jouant la cheffe de clan familial et qui révèle une palette de jeu incroyable . Elle est partout et donc, indispensable .
« The BEAST MUST DIE »
« The BEAST MUST DIE », série vue sur canal ,
avec Jarred HARRIS (« Chernobyl »), Cush JUMBO (« les enquêtes de Vera »).
Canal+ diffuse en juin la suite du polar intense et vibrant « The Beast must die »,
Transposée sur le petit écran, l'intrigue du roman de Nicholas Blake, (le père de daniel Day- Lewis) déjà adaptée au cinéma par Claude Chabrol en 1969, avec « Que la bête meure »,avec Jean Yanne, se transforme en un glaçant face-à-face entre : Jared Harris , l’assassin,
et la blonde aux cheveux coupés ,jouant la mère, ,Cush Jumbo.
Une mère prépare sa vengeance en assassinant l'homme responsable de la mort de son fils de 6 ans.
Va-t-elle tuer la « bête » ?
Ce thriller haletant, qui montre que la psychologie humaine est plus complexe que cela, est porté par sa distribution.
J’ai aimé , un peu comme aux échecs, le duel entre les 2 protagonistes de la série , mais autour d’eux, il y a aussi les personnages secondaires qui sont lumineux, comme la jolie belle-sœur un peu délurée de l’assassin, la sœur de l’assassin, acariâtre à souhait, le jeune commissaire torturé ou encore le fils pommé de l’assassin .
Il y a aussi la demeure très bourgeoise du tueur , avec sa piscine et les paysages sauvages ou maritimes qui participent largement à l’œuvre ,
«ANTIDISTURBIOS»
«ANTIDISTURBIOS» ( Anti- émeutes)
est une série policière espagnole, créée par Isabel Peña et Rodrigo Sorogoyen, («El reino») pour Movistar+ et Canal+.
On suit un groupe de 6 policiers de Madrid et une agente de la Police des polices( jouée admirablement par Vicky Luengo), qui enquête sur leur compte.
Le propos de «Antidistubios» est rare pour mettre en avant les 2 facettes du « combat » sociétal , en éclairant des combats de rue , de réactions humaines dans un camp comme dans l’autre .
Elle débute avec une bavure policière, le décès d’un immigré sénégalais, qui s’écroule d’un balcon d’immeuble, suite à une intervention musclée des policiers , expulsion d’un logement madrilène , entraînant une échauffourée.
Ce drame va déclencher une enquête des affaires internes,
menée par Laia (Vicky Luengo).
Bien qu’elle se heurte à un mur, formé par les six policiers qui, pour se défendre, ont coordonné leur discours, la jeune femme s’acharne à découvrir la Vérité.
Le dernier épisode met au jour une «vilaine» affaire de gros sous. Ce choix marque la volonté des auteurs, Isabel Peña et Rodrigo Sorogoyen d’embrasser la police dans son ensemble.
Car cette mini-série choc livre une perspective inédite sur des policiers qui ne sont pas les héros habituels de fiction.
Surtout, Sorogoyen les filme au plus près, rentre dans leur intimité et s’applique à ne pas les juger. Ni héros, ni salauds, ils sont mis à nu avec toute leur complexité et leurs contradictions.
Le spectacle se situe dans les regards désabusés de ces policiers usés jusqu’à la corde. On étouffe au contact de ce quotidien toujours plus pesant. Ce n’est pas juste un fait divers qu’il met en scène, il interroge une société entière.
Antidisturbios pose la question de la violence. D’où vient-elle? Qui la distribue? Dans quelles proportions ? «Antidisturbios»est une œuvre puissante qui interroge la société et la regarde droit dans les yeux. Indispensable!
Dialogues:
Discours rassembleur du début dans le groupe de policiers «...Nous sommes une famille, personne ne peut nous séparer...»
un policier parle: «...je ne tabasse pas les gens par plaisir , je le fais pour d’autres raisons...»
Originalité notable: la présence du club de l’O.M. ainsi que ses ultras dans la série , touche française (et européenne) .
le lac d'Ourrec
Hier,
randonnée au lac d'Ourrec, avec une incursion vers le col de Bareilles.
Des paysages somptueux et un bain dans l'eau glacée pour moi... et une vache !
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charlotte
Il faut bien être honnête :
la France, sans sa gastronomie et ses desserts, ce ne serait pas vraiment la France.
Et la France des prénoms , pour un gâteau, ça reste la France.
Surtout quand elle s'appelle ...Charlotte !
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